UPDATE : Le rappeur évoque un chantage financier.
UPDATE du 4 novembre – 16h37 : La rappeur Nekfeu de son vrai nom Ken Samaras a réagi aux récentes accusations de son ex-femme. Dans un communiqué relayé par ses proches, il explique être la victime d’un chantage financier de son ex-épouse et avoir la garde de leurs fils.
“Ces accusations ont déjà été classées sans suite par la justice et reviennent au même moment où elle a été interpellée pour hier soir pour disparition inquiétante de mon fils de 3 ans. Elle est actuellement sous contrôle judiciaire depuis septembre et a interdiction d’approcher l’école de notre fils”, écrit l’artiste.
Depuis leur divorce, elle se serait servie de leur enfant “pour m’atteindre”, poursuit Nekfeu. “Elle a tenté en vain à l’époque de me faire un chantage financier, me menaçant d’aller voir les médias si je ne lui versais pas une somme d’argent importante”. Le rappeur explique s’être vu confier la garde de leur enfant dans ce contexte en mars 2024.
“J’avais déjà transmis à la police tous les éléments prouvant mon innocence et les intentions malveillantes de mon ex-épouse, dont des échanges privés et des témoignages de sa propre famille confirmant mes propos”, affirme Mr Samaras avant d’ajouter que son ex-femme sera à nouveau jugée en janvier 2025.
Le communiqué :
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Viols, violences sexuelles et physiques. Le communiqué de presse posté par Maitre Florence Fekom sur Twitter ce dimanche soir fait froid dans le dos. On y découvre ce qu’elle appelle “L’affaire Nekfeu”. Le rappeur est accusé par son ex-compagne, avec qui il a un enfant, de “violences psychologiques, sexuelles et physiques commis durant leur relation, soit pendant près de 4 ans”. Le communiqué poursuit : “Elle déclare l’avoir quitté enceinte pour se protéger et préserver leur enfant à naître”.
Ce communiqué posté dimanche puis effacé, après que le compte X de l’avocate ait été suspendu, nous a été confirmé depuis par l’avocate Florence Fekom elle-même. Nekfeu de son vrai nom Monsieur Samaras, aurait installé un climat de peur, poussant la plaignante à rendre l’affaire publique.
“Craignant les représailles de Monsieur Samaras, ma cliente, a, dans un premier temps, signalé les faits de violences conjugales et viols sans porter plainte et sans produire les éléments à l’appui de ses déclarations. Elle a, en juin 2024, décidé de communiquer ces éléments et est dans l’attente d’une convocation dans un commissariat, qui ne fera pas preuve d’iniquité à son encontre, pour être entendues sur ces faits”.
Nekfeu n’a pour l’instant pas réagi à la publication de ce communiqué ni à ces accusations. Maitre Fekom est elle, spécialisée dans l’accompagnement et la représentation de victimes de violences sexistes et sexuelles, et violences au sein du couple.
Le Communiqué :
