Andrea Crews prête main forte à la coopérative Le Relais pour sa première collection upcyclée

À retrouver prochainement en friperie à Paris.

Crédit photo : via @andrea_crews

La coopérative solidaire appartenant au groupe Emmaüs, Le Relais, s’est entourée de la griffe française cheffe de file de la mode responsable, Andrea Crews, pour créer sa première collection de vêtements upcyclés. Grâce à ses 22 000 bornes de collectes à travers l’Hexagone, Le Relais s’attèle à donner une seconde vie aux vêtements récupérés en passant par quatre canaux : ils sont soit exportés en Afrique, soit transférés aux 85 friperies de la chaîne Ding Fring réparties dans toute la France, ou encore transformés en matières premières pour la fabrication d’isolants ou en chiffons de nettoyage.

La capsule, composée de 150 pièces, a été élaborée à partir de textiles sourcés directement auprès du centre de tri de la commune de Chanteloup-les-Vignes, située en Ile-de-France. Afin d’apporter son soutien à cette initiative, Andrea Crews a mis à disposition un atelier de confection entièrement dédié dans lequel Maroussia Rebecq, la fondatrice, et ses équipes ont pu transmettre leur expertise en matière d’upcycling à la coopérative. La marque éco-responsable souhaite ainsi “affirmer sa volonté de réorientation stratégique vers l’accompagnement et la sensibilisation à la valorisation de l’existant”, comme elle le déclare dans un communiqué. La première collection capsule sera dévoilée le jeudi 2 décembre prochain au sein de la boutique solidaire Ding Fring située dans le 20ème arrondissement de Paris. 

Boutique Ding Fring
340 Rue des Pyrénées
75020 Paris

En attendant, découvrez l’upcycling responsable et non-genré du jeune label français CAME.

9 novembre 2021

Previous Article

La collab Supreme x Tiffany & Co. se dévoile

Next Article

Les Éditions Louis Vuitton s'invitent sur les berges de Seine à Paris

Related Posts
Lire la suite

Comment le Ghana est devenu la poubelle de la fripe

Alors que la seconde-main fait partie de l'économie locale, le pays voit des tonnes de vêtements se déverser sur ses plages et s'amonceler sur une colline appelée "la colline de la honte".