Jennifer Lopez débarque sur Netflix, Diam’s s’installe au cinéma et l’avocat de Georges Floyd raconte son histoire de défenseur des droits civiques.
Si vous cherchez votre lot de documentaire à regarder en ce moment, voici une liste non exhaustive qui vous emmènera de Netflix en passant par Canal + ou encore Vimeo. Au programme : le film co-réalisé par Diam’s qui débarque dans les salles obscures pendant 48h mais aussi « Halftime », un documentaire dans lequel la star latino américaine Jennifer Lopez se raconte. Moins connues mais tout aussi importante au maintien de l’industrie du textile, huit couturières asiatiques vivant à New York racontent comment elles ont dû faire face à la pandémie et à la montée en puissance du racisme anti-asiatique aux États-Unis.
Jennifer Lopez sur raconte sur Netflix
Nombreux sont les artistes à choisir Netflix pour se raconter. Après Maitre Gims, Angèle ou encore Beyoncé, c’est au tour de Jennifer Lopez de proposer son histoire en images. Dans « Halftime », qui rejoindra la plateforme de streaming le 14 juin prochain, la chanteuse latine retracera les moments forts de sa carrière tout en donnant un aperçu de sa vie personnelle. La bande-annonce est déjà disponible.
Diam’s se raconte dans Salam
Présenté en avant-première au Festival de Cannes, le film « Salam », co-réalisé par Diam’s sera diffusé dans les salles de cinéma pendant seulement deux petits jours. Les 1er et 2 juillet prochain, le documentaire rejoindra les salles obscures. L’occasion de découvrir à travers la voix si emblématique de l’ancienne rappeuse son histoire hors du comment. Le documentaire sera ensuite disponible sur la plateforme BrutX à la rentrée.
L’enfer du manoir de Playboy sur Canal +
Cette série documentaire de 10 épisodes et initialement diffusée aux États-Unis, met en lumière la face cachée d’un des personnages les plus emblématiques et controversés du petit écran outre-Atlantique. Hugh Hefner, présenté comme le chantre de la liberté d’expression, affirmait avoir créé Playboy pour favoriser la libération sexuelle des hommes, mais également des femmes. Au fil du temps, c’est surtout l’exploitation des femmes qui a prédominé. Depuis la mort d’Hefner en 2017 à l’âge de 91 ans, les langues n’ont cessé de se délier, même si depuis 2010 déjà, de nombreuses playmates avaient témoigné des orgies mais aussi des couvre-feux qui leur étaient imposés si elles dormaient dans l’antre du sexe étalé sur près de deux hectares dans le quartier de Holmby Hills à l’Ouest d’Hollywood. Plus sombres encore, les accusations d’agressions sexuelles, une victime de l’acteur Bill Cosby, visiteur régulier du lieu, dit même avoir été molestée au sein même du Manoir, tout ça avec l’aide de Hugh Efner. La série documentaire est accessible dès maintenant sur Canal +.
Le rap belge se raconte
Nos voisins belges se sont fait au fil des années une place de choix dans le paysage francophone du rap. Apparaissant souvent comme des ovnis dans un Eco-sytème en France largement saturé, ces acteurs du milieu bouscule les codes non sans humour. France TV leur dédie une série documentaire et part à la rencontre de Roméo Elvis, Blu Samu, Geeeko et Smahlo. Les épisodes sont distillés chaque semaine sur la plateforme en ligne de France TV.
Celui que l’on surnomme le « Ministre de la Justice de l’Amérique noire »
Ben Crump est un avocat américain connu pour son engagement auprès des communautés afro)américaines victimes de racisme et d’injustice au sein du système judiciaire américain. Connu pour avoir travaillé sur l’affaire George Floyd et Breonna Taylor, il se raconte le temps d’un documentaire sur Netflix. Entre son travail comme défenseur des droits civiques et sa vie de famille. Disponible dès le 19 juin sur Netflix.
Les couturières invisibles de New York
Invisible Seams from jiali on Vimeo.
Dans ce documentaire publié sur Vimeo, les équipes de la réalisatrice Jia Li, donnent la parole à huit couturières et modélistes asiatiques de New York, et mettent en avant les expériences de ces travailleurs de première ligne de l’industrie de la mode, dont les voix sont trop souvent négligées. « Ces femmes ont survécu à la pandémie, à la montée des crimes haineux contre les Asiatiques, aux épreuves de l’immigration et aux exigences sans fin des cycles de la mode. Invisible Seams est une célébration de leur talent et de leur expertise, une reconnaissance du fait que leur dévouement à leur métier est aussi un moyen de survie », peut-on lire dans le synopsis du documentaire qui est disponible dès maintenant.
1 juin 2022